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Photographie | Indiens d'Amérique | Légendes indiennes d'Amérique | Instruments de musique | Instruments à vent | Flûte | Musique | Flûte droite | Chefs | Bisons | Lances | Amérindiens | Karl Bodmer (1809-1893) | Mandans (Indiens) |
Le chef indien Quatre-Ours. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b94395-le-chef-indien-quatre-ours

Le chef indien Quatre-Ours

Le chef indien Mandan Quatre-Ours (Mato-Tope), par Karl Bodmer (1809-1893). Maximilian Alexander Phil Wied-Neuwied, Voyage dans l’intérieur de l’Amérique du Nord exécuté pendant les années 1832, 1833 et 1834, planches de Karl Bodmer, édition Arthus Bertrand, 1840-1843.

Siyotanka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53287213-siyotanka

Siyotanka indien

Le siyotanka - « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota - (Iroquois, Winnebagos, Ojibwés, Mandans, Hidatsas, Cris, Sioux. C'est une « flûte de courtoisie » à double conduit jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil. Une légende voudrait que c'est un pivert en creusant une branche de cèdre avec son bec qui a offert cet instrument à un jeune guerrier amoureux. Une autre légende hidatsa parle de « la squaw qui ne meure jamais » qui offrit cette flûte à son petit-fils et qu'elle confectionna dans la tige d'un tournesol avec sept trous représentant les mois de l'hiver. La représentation la plus ancienne de cet instrument est un pictogramme sur des rochers très connu appelé Kokopeli. Le siyotanka désigne aussi un sifflet sacré taillé dans un os d'aigle chez les Sioux.